TL;DR hyper-rapide (promis, après on papote au calme)
Joe passe par la case prison 👮♂️ ; Brontë lui flingue la virilité (littéralement) 🔫 ; Kate survit mais plaque l’empire Lockwood 💼 ; Henry renie papa 👶 ; Nadia + Marianne + Brontë = girl squad du siècle 💥. Voilà. Tu peux souffler… ou rester, parce que le reste va être crousti-moelleux.
Rembobinage express : trois ans de pseudo-répit, un feu d’artifice d’ennuis
Flash-back : Joe et Kate coulent des jours (trop) tranquilles à New York façon « couple goal ». Le mec bosse toujours à Mooney’s – sa grotte à meurtres préférée – pendant que madame dirige Lockwood Inc. et veut transformer le capitalisme en kermesse caritative (rien que ça). Bien sûr, Reagan la frangine carnassière débarque, et paf, la fragile façade se fissure : Joe replonge plus vite qu’un Hobbit dans une taverne.
Digression minute : avoue que cette vibe « Dexter qui s’auto-justifie » commence à sentir le réchauffé. Même Light Yagami lèverait un sourcil blasé.
Episode 9 : le domino géant qui renverse tout
Kate, boostée par son compte en banque XXL, fait libérer Nadia, retrouve Marianne (la queen de Paris qu’on croyait six pieds sous terre) et enferme Jojo dans sa propre cage vitrée. IRONIE, bonjour ! Mais comme dans chaque Shōnen qui se respecte, le boss final sort toujours un power-up foireux : Joe s’exfiltre grâce à une clé planquée… dans sa chair. Rep à ça, MacGyver !
Pendant ce temps, Maddie (la jumelle qui a supprimé la jumelle… tu suis ?) crame la librairie – feel-good familial, non ? Le show décide de virer Final Destination : flammes, hurlements, confessions audio compromettantes. Bref, on sort le popcorn XXL.
Le grand final façon cottage-core… mais avec un serial killer
Bronte (nouvelle crush, pseudo auteure mais surtout taupe badass) sauve Joe des flammes pour mieux le piéger. Direction un chalet planqué au Canada – coucou les castors et la 5G bancale. Elle l’oblige à barrer au marqueur tout ce qu’il avait réécrit dans le manuscrit de Beck. #SymboliqueQuiTapeFort.
Comme un Dark Vador qui aurait perdu son sabre, Joe panique, canarde Brontë, court en forêt, noie, égorge… la routine. Sauf que spoiler : la meuf survit, revient armée et lui tire dans… bah dans ce que tu imagines, je ne vais vous faire un dessin non plus hein !!!. Chute d’ego niveau Game Over, insertion d’une pub pour thérapie masculine.
Les Girlboss strikes back
- Bronte : transforme la traque en performance #Metoo².
- Kate : brûlée mais pas grillée, file les rênes à Teddy, qui convertit Lockwood en ONG. (Tu l’as senti venir, le twist écolo ?).
- Nadia & Marianne : deviennent mentores d’artistes, d’étudiantes, de tout ce qui respire encore après Joe.
- Henry : ghoste son daron toxique sur un serveur de jeu vidéo. Gén Z : 1 – Psycho-Daddy : 0.
Joe en taule : quand le monstre devient influenceur
Procès médiatisé, Dr Nicky acquitté (#JusticeForNicky). Joe finit à l’ombre pour la vie, mais reçoit… du fan-mail de groupies du crime. Oui, la culture du true-crime est pointée du doigt, façon Black Mirror très méta. Même derrière les barreaux, le gars se pose en victime du système. Hallucinant… et tristement crédible.
(Aparté grinçant) : on parie qu’un producteur va lui booker un podcast depuis sa cellule ? « Serial Killers & Chill », dispo sur toutes les plateformes, sponsorisé par un matelas à mémoire de forme.
Verdict à la : satisfaisant ou pétard mouillé ?
Franchement ? J’ai fermé Netflix avec le cerveau en compote ET un petit sourire satisfait. Oui, la série recycle quelques ficelles (le cellophane émotionnel, la romance toxique qui tourne au gore…), mais ENFIN Joe paie l’addition. L’ultime plan-caméra où il nous demande s’il est seul coupable ? Genial. Un doigt pointé vers le public, un miroir noir, un tacle à l’ère TikTok où l’on stan des tueurs fictifs et réels. Dexter a eu droit à un retour en forêt d’ours, Joe finit sans zizi : je valide.
(Ceci dit, note à moi-même : arrêter de binge-watcher à 3 h du mat’, sinon mon algorithme va me conseiller Dahmer direct.)
Les questions qui nous chatouillent encore
- Henry va-t-il vraiment échapper au karma Goldberg ?
- Le fan-club de prisonnières amoureuses sera-t-il la graine d’un spin-off satirique ?
- Le livre corrigé par Brontë dépassera-t-il le top 3 des ventes IRL ? (Avoue, t’irais flipper en librairie.)
Bon, on se fait une pause thé matcha-mochi ? Parce que cette descente aux enfers méritait un petit remontant sucré !
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