HELL YES, Steel Ball Run arrive ENFIN en anime ! 😱
Alors là, accroche ta ceinture (ou ton Steel Ball, chacun son style), parce que l’univers JoJo vient littéralement de dégainer un Stand dans la gueule de l’ennui : Steel Ball Run, aka la Part 7 tant vénérée, va avoir droit à son adaptation animée officielle. ALLELUIA, mes frères et sœurs otakus !
L’annonce est tombée comme un Dio qui crie « ZA WARUDO » sur un JOJODAY déjà bien chargé en émotions. Spoiler alert : c’était le feu. 🔥 Genre, à la limite de la combustion spontanée pour certains fans (moi, en l’occurrence).
Retour sur l’événement JOJODAY : du fan-service de QUALITÉ
Alors, laisse-moi te planter le décor : un event épique avec Kendo Kobayashi à l’animation (big up à lui), du beau monde sur scène, et un florilège de seiyuus emblématiques :
- Kazuyuki Okitsu (Jonathan Joestar, le OG)
- Daisuke Ono (Jotaro Kujo-quoi, notre papa taciturne préféré)
- Junichi Suwabe (Abbacchio, ce flic au cœur fondant)
- Fairouz Ai (Jolyne, la queen)
- Tomokazu Sugita (JoJo papy Joseph, via vidéo — oui, même à distance il déchire)
- Et même Kenta Miyake (Avdol), en guest surprise ! 🔥
Et pour ne rien gâcher, JO☆STARS est venu ambiancer tout ce beau monde avec du Fighting Gold, Bloody Stream et l’hymne ultime : Sono Chi no Kioku end of THE WORLD. Oui, j’ai pleuré. Oui, j’assume.
Le moment tant attendu : Steel Ball Run, le trailer !
Alors que tout le monde pensait que c’était fini, BOUM : nouvelle OST en fond, blackout… et là, BOOOM, visuel teaser. On y voit Johnny Joestar et Gyro Zeppeli en mode pose légendaire, cheveux au vent, ambiance Far West, comme si Clint Eastwood avait fusionné avec Araki-sensei.
Et là, explosion collective de hype sur la planète JoJo. Ça crie, ça tremble, ça tweet dans tous les sens (coucou X/Twitter).
Petit bonus ultra stylé : les 24 tomes du manga dispo gratos sur l’appli Young Jump, mais attention, seulement du 13 au 14 avril (JST). Si t’es pas insomniaque, c’est le moment de le devenir.
Mais attends… Steel Ball Run, c’est quoi exactement déjà ?
OK, pour celles et ceux qui débarquent dans le JoJoVerse (déjà, bienvenue et RIP votre productivité), un petit recap s’impose. Steel Ball Run, c’est la partie où Hirohiko Araki dit : « Et si on recommençait tout… mais dans une autre réalité ? ». Ouais, carrément.
Le pitch en mode western-bizarre :
On est en 1890, direction les États-Unis. Pas de smartphones, pas de GPS, mais des types en costume moulant montés à cheval, prêts à traverser tout le continent pour un prix de malade : 50 millions de dollars. Johnny Joestar, ex-jockey paralysé, tombe sur un duel chelou et… miracle, il bouge ses jambes. WTF ? Tout ça grâce à Gyro Zeppeli et ses fameuses Steel Balls qui tournent comme Beyblade sous stéroïdes.
Résultat : ils se lancent tous les deux dans la course la plus dingue de l’histoire, à mi-chemin entre Fast & Furious version équine et X-Men à la sauce steampunk. Des Stands chelous, des complots politiques, des cadavres saints (oui oui), et une tension dramatique qui te ferait trembler même Dio. Bref, chef-d’œuvre.
Pourquoi tout le monde en parle comme si c’était LA meilleure partie ?
Bon, faut dire ce qui est : Steel Ball Run, c’est le JoJo de la maturité. Araki a switché en mode serious business. La narration est plus dense, les persos sont complexes, les enjeux ultra profonds. Même les méchants sont charismatiques à en devenir sympathiques (coucou Valentine, tordu mais fascinant).
Et esthétiquement ? C’est du Araki post-radiation cosmique, niveau de détails insane, design de Stands qui te fait rêver la nuit (ou cauchemarder, au choix).
Ajoute à ça un Johnny Joestar plus paumé que Naruto au début et une bromance à la sauce JoJo & Gyro plus poignante que celle de Frodo et Sam (oui j’ose la comparaison) et t’as le combo gagnant.
La team David Production revient aux manettes ?
Alors, officiellement, rien n’a encore été dit sur le studio d’animation, MAIS… tout laisse penser que David Production est toujours dans le coup (ils ont fait toutes les autres parties jusqu’ici, alors on croise les doigts ET les Steel Balls).
Et franchement, vu le niveau de qualité atteint avec Stone Ocean (la dernière partie animée, dispo sur Netflix, tu connais), y’a de quoi être confiant. Ou du moins, optimiste à 70%, ce qui dans le fandom JoJo, est déjà énorme.
Ce que JOJODAY a aussi annoncé (parce que pourquoi s’arrêter là ?)
On a eu droit à un petit teasing sympa sur d’autres goodies à venir, parce que chez JoJo, c’est jamais juste un anime, c’est un lifestyle :
- Un nouveau film Kishibe Rohan en approche (avec Rohan, aka l’artiste le plus snob mais le plus stylé du manga game),
- Un event prévu le 28 avril (je bloque déjà mon agenda)
- Des nouvelles figurines (mon portefeuille a pleuré),
- Et… un parfum inspiré des persos ? (Note à moi-même : ne pas porter celui de Dio si je veux garder des amis.)
Et après Steel Ball Run ? JoJo Part 9 avance !
Juste pour le plaisir de titiller les fans, Araki a aussi laissé traîner quelques miettes d’infos sur Part 9 – The JoJoLands, actuellement en cours au Japon. Au programme ? Des îles tropicales, un protagoniste mystérieux, et une quête pour devenir millionnaire. Oui, c’est bizarre. Donc, c’est JoJo. CQFD.
👉 Pour les curieux, le manga sort chez VIZ Media en été 2025 (version anglaise, faut patienter encore un peu).
En résumé ? C’est LE MOMENT d’être fan de JoJo
Steel Ball Run, c’est pas juste une adaptation de plus. C’est un monument. L’équivalent JoJo de la trilogie du Seigneur des Anneaux version anime. Entre la profondeur du récit, les persos charismatiques et les combats à la stratégie chelou, c’est tout l’esprit JoJo porté à son sommet.
Et avec cette annonce en grande pompe, le fandom est en ébullition. À raison. C’est beau, c’est barré, c’est JoJo.