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Le Deepfake expliqué simplement : entre fascination et dangers

par KingofgeeK
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Tom Cruise Deepfake

Allez, on s’y met ! On va parler d’un truc qui perturbe tout le monde sur la toile : le Deepfake. Vous avez sûrement déjà entendu ce mot qui sonne un peu comme un nom de superhéros, mais en vrai, c’est plutôt le vilain de l’histoire. Alors, préparez vous à voir un monde où rien n’est vraiment ce qu’il semble être !

Le Deepfake, C’est quoi ?

Bon, commençons par le commencement. Le Deepfake, c’est un peu comme si on prenait Photoshop et qu’on lui donnait des super-pouvoirs pour les vidéos. En gros, c’est une technologie qui permet de créer des vidéos ultra-réalistes de personnes faisant ou disant des choses qu’elles n’ont jamais faites ou dites. Ouais, je sais, ça fait un peu flipper.

Comment ça marche, ce truc ?

Alors là, ne zappez pas parce que ça va être un peu technique (mais pas trop, promis). Le Deepfake utilise ce qu’on appelle l’intelligence artificielle et le machine learning. C’est comme si on apprenait à un ordinateur à reconnaître les visages et les voix, puis à les reproduire.

Imaginez que vous ayez un pote qui sait super bien imiter les gens. Ben le Deepfake, c’est pareil, sauf que c’est un ordi qui le fait, et il le fait tellement bien que même votre mère s’y ferait prendre !

Les bons côtés du Deepfake (oui, y’en a !)

Vous vous dites sûrement que c’est l’outil parfait pour les arnaqueurs et les fauteurs de troubles. Et… vous avez pas tout à fait tort. MAIS ! Il y a aussi des utilisations plutôt cool du Deepfake :

  1. Dans le cinéma : On peut faire « revivre » des acteurs décédés pour terminer un film. C’est ce qui s’est passé pour Paul Walker dans « Fast and Furious 7 ».
  2. Pour l’éducation : On peut créer des vidéos historiques super réalistes pour les cours d’histoire. Ça en jette plus que les vieux bouquins poussiéreux, non ?
  3. Dans la mode : Des créateurs utilisent le Deepfake pour voir à quoi ressembleraient leurs vêtements sur différents types de corps sans avoir besoin de tonnes de mannequins.

Le côté obscur du Deepfake

Bon, maintenant, parlons des trucs moins cool. Parce que oui, le Deepfake, c’est un peu comme un couteau suisse : ça peut servir à faire des choses géniales, mais entre de mauvaises mains…

  1. La désinformation : C’est le gros problème. On peut faire dire n’importe quoi à n’importe qui. Vous imaginez le bordel pendant les élections ? ( l’exemple de ce qu’a fait Lingo Telecom pour Biden est un bon exemple )
  2. Le revenge porn : Des gens mal intentionnés peuvent utiliser cette technologie pour créer de fausses vidéos à caractère sexuel. Et ça, c’est vraiment pas cool.
  3. Les arnaques : « Bonjour, c’est votre PDG. Virez 1 million d’euros sur ce compte, c’est urgent ! » Bah ouais, maintenant les arnaqueurs peuvent même imiter la voix et l’image de votre boss.

Comment se protéger ?

Alors, on fait quoi face à ça ? On arrête d’utiliser internet et on retourne vivre dans des grottes ? Pas besoin d’en arriver là, mais voici quelques conseils :

  1. Gardez l’œil ouvert : Si une vidéo vous semble bizarre, fiez-vous à votre instinct.
  2. Vérifiez vos sources : Ne croyez pas tout ce que vous voyez sur internet (oui, même si c’est votre tante Gertrude qui l’a partagé).
  3. Utilisez des outils de détection : Il existe des logiciels qui peuvent repérer les Deepfakes. Ils ne sont pas parfaits, mais ça aide.
  4. Éduquez-vous : Plus vous en saurez sur le Deepfake, moins vous risquerez de vous faire avoir.

L’avenir du Deepfake

On va pas se mentir, le Deepfake, c’est pas près de disparaître. En fait, ça risque même de devenir de plus en plus présent dans nos vies. Mais c’est pas forcément une mauvaise chose !

En effet, le Deepfake évolue rapidement, et avec les avancées en IA, ces technologies deviennent de plus en plus réalistes et accessibles. On pourrait voir un avenir où les deepfakes ne seront pas seulement utilisés pour des vidéos trompeuses, mais aussi pour des applications positives, comme dans l’industrie du cinéma pour recréer des acteurs disparus, ou encore pour traduire des vidéos dans différentes langues tout en gardant l’apparence et les expressions du locuteur original. Le défi sera de trouver un équilibre entre innovation et éthique, en s’assurant que ces outils puissants ne soient pas détournés à des fins malveillantes

Pour conclure (enfin, pas vraiment, mais bon)

Le Deepfake, c’est un peu comme le feu : ça peut réchauffer votre maison ou la brûler, tout dépend de comment on l’utilise. L’important, c’est de rester informé et vigilant. Et qui sait ? Peut-être qu’un jour, on utilisera tous le Deepfake pour avoir l’air plus cool sur nos photos de vacances ! ( C’est déjà le cas avec les nouveaux Galaxy AI ou les Pixel 9 )

En attendant, restez curieux, restez prudents, et surtout, restez vous-mêmes. Parce que franchement, y’a rien de mieux que l’original !

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