Aujourd’hui, c’est la cérémonie de lancement des JO de Paris 2024, et qu’est ce qu’on vient de voir, un Cascadeur à la manière d’Assassin’s Creed Unity, entrain d’escalader les bâtiments de Paris avec à la main la Torche olympique. on va alors en profiter pour causer d’un jeu qui m’a fait kiffer grave : Assassin’s Creed Unity. C’est LE trip virtuel dans la Révolution française qui te fera perdre la boule !
Sorti en 2014 (ouais, ça date un peu, mais c’est comme le bon vin, ça s’bonifie avec l’âge), ce bébé d’Ubisoft a fait jaser dans le Landerneau vidéoludique. Perso, quand j’ai posé mes mains sur la manette, j’ai direct su que j’allais vivre un truc de ouf.
L’histoire, mes gars, c’est du lourd. Tu incarnes Arno Dorian, un p’tit gars qui va se retrouver embrigadé dans la confrérie des Assassins en pleine Révolution française. Autant dire que ça va charcler sévère dans les rues de Paname !
Le truc de dingue, c’est la reconstitution de Paris. Sérieux, les mecs d’Ubisoft ont dû se taper des heures de recherche pour nous pondre un truc aussi authentique. Notre-Dame, les Invalides, le Palais-Royal… T’as l’impression d’y être, mon gars ! J’me suis même surpris à chercher ma rue actuelle dans le jeu, LOL.
Mais parlons technique, bordel ! Le moteur graphique, c’est d’la bombe atomique. Les textures sont plus fines qu’une julienne de carottes dans Top Chef. Et le système de parkour ? Putain, c’est comme si tu donnais des ailes à Spider-Man ! Tu te sens plus pisser quand tu grimpes sur les toits de Paris.
Bien sûr, comme dirait ma grand-mère, « y’a pas d’omelette sans casser des œufs ». Le jeu a eu ses bugs au lancement, faut pas se voiler la face. Mais hey, c’est comme la Révolution française, ça a mis un peu de temps à se mettre en place, mais au final, ça a changé la donne !
L’immersion dans l’époque révolutionnaire, c’est l’point fort du jeu, hands down. Tu croises Robespierre, Danton, et même le p’tit Corse qui deviendra Napoléon. C’est comme si tu te tapais un cours d’histoire, mais en mode fun et avec un sabre caché dans ta manche.
J’me souviens d’une fois où j’étais tellement pris dans le jeu que j’ai commencé à parler avec l’accent de l’époque à ma copine. Elle m’a regardé comme si j’avais fumé la moquette, mdr.
« Holà, citoyenne ! Que dirais-tu d’une promenade sur les quais de la Seine ? » « T’as craqué ton slip ou quoi ? » « Point du tout, ma mie. Je suis juste imprégné de l’esprit révolutionnaire ! »
Bref, elle m’a laissé en plan pour aller regarder Netflix. Mais bon, ça valait le coup !
Le système de combat a aussi été revu et c’est plus nerveux qu’un parisien dans les bouchons. Faut être vif, précis, sinon tu finis à la lanterne plus vite que tu peux dire « Liberté, Égalité, Fraternité ».
En parlant de ça, le jeu aborde des thèmes profonds, genre la lutte des classes, la corruption du pouvoir… C’est pas juste un défouloir, y’a de la matière à réflexion. Comme quoi, on peut s’éclater et faire bosser ses méninges en même temps !
Mais attention, faut pas croire que c’est un documentaire non plus. Y’a des libertés historiques, normal. C’est comme si tu mélangeais « Les Misérables » de Victor Hugo avec « Matrix ». Ça donne un truc complètement barré, mais tellement addictif !
Pour conclure, Assassin’s Creed Unity, c’est une expérience de jeu révolutionnaire, au propre comme au figuré. Si t’as pas encore testé, fonce ! C’est l’occasion de voyager dans le temps sans se taper le mal des transports.
Allez, j’vous laisse, y’a une mission qui m’attend. La Bastille va pas se prendre toute seule, nom d’une pipe !